L'article montre la problématique des vols longue distance (ici 18h) avec nécessité de manger et boire, de se déplacer, d'aller aux toilettes, et de l'impossibilité de garder un masque en continu. Il montre aussi l'efficacité des mesures de quarantaine prises en Nouvelle Zélande, la qualité de leur tracing et de leur séquençage intensif du génome des virus des personnes contaminées, qui ont permis, de longs jours plus tard à identifier que des cas positifs identifiés dans des établissements où tout arrivant doit passer 14 jours de quarantaine, provenaient de personnes ayant voyagé à bord du même vol.
 

 

 

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