VIETNAM

La mère des guerres modernes

Une série documentaire américaine de 2017, en 9 épisodes de 55 minutes, de Ken Burns et Lynn Novick présentée sur ARTE en 2023

 

Vietnam 1

Indochine, la fin
Vietnam 2

Insurrection
Vietnam 3

Le bourbier
Vietnam 4

Le doute
Vietnam 5

Révoltes
Vietnam 6

Fantômes
Vietnam 7

Mer de feu
Vietnam 8

Guerre civile
Vietnam 9

L'effondrement

 

" Ken Burns et Lynn Novick font revivre de manière inédite la guerre du Viêtnam au plus près de ceux qui l’ont vécue, Vietnamiens et Américains, dans une fresque documentaire digne d’Apocalypse Now ou de Voyage au bout de l’enfer. En neuf épisodes, les réalisateurs retracent ces trente années de soulèvements et de destructions, qui firent plus de 3 millions de morts, à travers les récits intimes de près d’une centaine de témoins. Simple militaire ou dirigeant politique, journaliste ou activiste, déserteur, diplomate ou sœur d’un soldat défunt, tous ont fait, observé ou subi cette tragédie aux dimensions épiques, mère de toutes les guerres modernes. Au fil d’une narration où le rythme s’accélère d’épisode en épisode, une foule d’archives inédites, fruit de dix ans de recherche, associée à de célèbres photos, des films amateurs ou des enregistrements sonores dévoilant les coulisses de la Maison-Blanche, racontent l’histoire de la fin du colonialisme, de la montée en puissance de la guerre froide et de la victoire d’un peuple de paysans contre la machine de guerre la plus dévastatrice au monde. Ou l’histoire d’un conflit qui a divisé l’Amérique et l’opinion mondiale pour toujours ".

 


 

Présentés sur La Chaîne Parlementaire française

L'Archipel du Goulag, 50 ans après

 

« Au travers d'archives et de témoignages inédits, Jean Crépu revient, dans "Le courage de la vérité" sur la parution de L'Archipel du Goulag d'Alexandre Soljenitsyne intervenu il y a 50 ans et qui a provoqué un cataclysme mondial. 
Ce film retrace l'évolution du paysage politique d'hier et d'aujourd'hui pour nous faire comprendre à quel point ce livre a été et demeure important sur le plan de l'Histoire et sur le plan humain.
Ce documentaire aura également pour raison de nous rappeler la détermination et le courage sans faille de son auteur, mais aussi des femmes et des hommes, sans qui ce livre n'aurait jamais pu exister.

Cette aventure humaine, il la retrace dans "L'Histoire secrète". Comment ce manuscrit, écrit dans le plus grand secret à une époque où les frontières de l'URSS étaient hermétiques et le KGB tout puissant, a-t-il pu parvenir jusqu'à nous ? Dans un ultime entretien filmé fin 2007, Alexandre Soljenitsyne livre un témoignage exclusif sur l'épopée de son oeuvre. Ce film donne aussi la parole à ceux que le grand écrivain russe appelait les "invisibles" : ses plus proches amis qui, au sein d'un réseau clandestin, ont risqué leur liberté, parfois leur vie pendant des années afin que "L'Archipel du goulag" puisse un jour être publié. Le manuscrit, transporté en cachette d'une ville à l'autre, photographié, microfilmé, a fini par passer en Occident et changer le cours de l'Histoire. » 

 

 


 

Archives France 2 (2016) :

Apres Hitler

Mai 1945. Les populations fêtent la victoire. Mais la défaite de l’Allemagne n’ouvre pas sur des lendemains qui chantent. Dans l’Europe entière, un gigantesque fleuve humain se met en marche. Des millions d’hommes et de femmes déportés, internés, soumis au travail forcé, rêvent de retrouver leurs foyers. Des millions d’Allemands, chassés par les pouvoirs qui s’installent en Hongrie, en Pologne et en Tchécoslovaquie, se jettent sur les routes ou se retrouvent parqués dans des camps. Des milliers de juifs survivants refusent de retourner dans leur pays d'origine et tentent de gagner la Palestine. Des milliers d'orphelins arpentent les cités dévastées. A peine sortis du conflit, l'Europe doit faire face, dans la plus vive urgence, à l’un des plus grands mouvements de population de tous les temps.

 

 


 

sainte sophieSainte-Sophie, du grec Ἁγία Σοφία, Hagía Sophía, "Sagesse de Dieu", traduit en turc par Ayasofya, est le symbole de Constantinople, devenue Istanbul sous la République turque. Sa construction a été achevée au VIe siècle et était le premier grand édifice chrétien, avec son dôme dominant à 56 mètres. Ce dôme, le second de l'édifice (le premier s'étant effondré peu de temps après sa construction), qui a, 1000 ans plus tard, servi de modèle à toutes les mosquées ottomanes, résiste depuis 15 siècles, malgré les secousses sismiques très fréquentes dans la région. Les mystères de sa construction sont en partie dévoilés dans ce documentaire d'Olivier Julien et Gary Glassman, grâce aux travaux de l'équipe de Eser Çaktı, du département d'études sismiques de l'Université Boğaziçi (l'Université du Bosphore à Istanbul). Le film date de 2014, année de mon dernier passage à Istanbul et de mes dernières déambulations dans Sainte-Sophie. Après avoir été pendant des siècles la plus grande église de la chrétienté, avant la construction de la cathédrale de Séville, elle est devenue une mosquée immédiatement après la conquête ottomane en 1453, puis un musée voulu par Atatürk en 1934. En 2014, Sainte-Sophie était toujours un musée, mais les premières rumeurs de sa reconversion en mosquée se firent entendre. Classée au patrimoine mondial de l'Unesco, pour son architecture, mais aussi pour ses très nombreuses mosaïques, dont beaucoup restaient encore à redécouvrir derrière les couches d'enduit des murs, le monde entier s'est ému quand elle est effectivement redevenue une mosquée en 2020. Toutefois, la Turquie, reconnaissant la richesse historique de l'édifice n'a pas à nouveau recouvert les mosaïques, du fait que la religion musulmane ne tolére pas les représentations figuratives. Celles-ci sont voilées pendant les prières musulmanes, mais restent visibles du public visitant Sainte-Sophie aux autres moments.

 

 


 

Blum Petain duel sous lOccupation Seconde Guerre mondiale Documentaire histoire AMP

Depuis 1936, deux conceptions de la France s'opposent et 1940 est le point d'orgue d'un des plus grands duels politiques du siècle : Léon Blum, leader du Front populaire, contre Philippe Pétain, à la tête du gouvernement de Vichy. Après avoir voté contre les pleins pouvoirs au maréchal, Blum est arrêté, accusé d'être l'un des responsables de la défaite. Durant son procès, l'accusé devient pourtant l'accusateur et fait basculer l'opinion publique. Hitler ordonne la déportation de Blum à Buchenwald. Ironie de l'Histoire, à la Libération, Léon Blum, revenu de l'enfer, est témoin à charge lors du procès du maréchal pour haute trahison. Le verdict tombe : Pétain est emprisonné au fort du Portalet. Là où, jadis, il avait fait enfermer Blum...

Ne perdons pas de vue non plus le sort similaire qui fut réservé par Pétain à ses autres ennemis politiques. En tout premier lieu Paul Reynaud, dernier Président du Conseil de la IIIe République, Edouard Daladier et Georges Mandel, ministre du gouvernement Reynaud, journaliste, anti-nazi notoire et résistant, et le syndicaliste Léon Jouhaud, que Pétain considère, ou feint de considérer comme les responsables de l'affaiblissement de la France. Ils se retrouveront aussi en captivité en Allemagne puis au Tyrol, en compagnie de Blum, avec également le Général Gamelin, considéré par Pétain comme responsable de la débacle, et même avec le Général Weygand, qui fut pourtant ministre de Pétain, mais considéré finalement comme indésirable, car fervent anti-allemand, et voulant s'en tenir strictement aux termes de l'Armistice de 1940. Tous reviendrons de déportation et survivrons à la guerre. Blum, jusqu'en 1950, Reynaud, jusqu'en 1966, Daladier, jusqu'en 1970 et Jouhaux, jusqu'en 1954. Seul Mandel ne survivra pas à la guerre : bien que revenu de captivité, son statut de juif et sa proximité avec de Gaulle scellera son sort. Il sera assassiné en forêt de Fontainebleau le 7 juillet 1944. On ne saura jamais si ce fut par la milice ou sous ordre direct d'Hitler.

Vikings, Gloire et Destin est une série documentaire de la chaîne télévisée du National Geographic, parue en 2022 et réalisée par le réalisateur islando-américain Ólafur Darri Ólafsson.

Conçue en 6 épisodes, la série raconte pourquoi et comment des communautés surpeuplées des pays du nord de l'Europe ont commencé, dès le 8ème siècle, à découvrir le monde sur leurs drakars, vers l'ouest, découvrant l'Islande et le Groenland, et abordant même le nord de la côte américaine, et vers le sud, conquiérant, saccageant et pillant une Europe affaiblie, et descendant même par voie de terre et fluviale jusqu'à Bagdad. Jusqu'à s'affaiblir et se sédentariser dans certaines régions, comme la Normandie qui leur doit son nom.
Et de Normandie, un de leur plus notables faits de conquête fut l'invasion de l'Angleterre, dont la Normandie conserve toujours en souvenir à Bayeux la fameuse tapisserie relatant la bataille d'Hastings de 1066. Pendant plus de trois siècles donc, les Vikings ont pris la mer pour partir en guerre.

 

EPISODE 1 : EN ROUTE POUR LINDISFARNE
En 793, une attaque contre la petite communauté religieuse de l'île sacrée de Lindisfarne marque le début de l'ère de conquête et d'expansion des Vikings.
Ce premier épisode revient sur la genèse de ce peuple, en Scandinavie, avant cette funeste expédition.

 

EPISODE 2 : LA GRANDE ARMEE PAIENNE
Le siège d'York a commencé en 866, lorsque la Grande Armée païenne a voulu prendre possession de la capitale de la Northumbrie.Les principales batailles, les différents camps et les bastions de l'Angleterre du IXe siècle sont examinés ici.

 


EPISODE 3 : A L'EST, JUSQU'A BAGDAD
Pour la Scandinavie, la route de la soie a ouvert les portes d'un monde de commerce avec l'Orient.
Cette quête de richesses a poussé les Vikings à attaquer Constantinople en 860.
Connus à l'est sous le nom de Rus', ils ont établi au beau milieu de l'Empire byzantin une colonie prospère et redoutée

 


EPISODE 4 : LA CHUTE DES FRANCS
En 885, le siège de Paris est le point culminant des invasions vikings en France.
Cet épisode évoque ces assauts répétés sur le pays et la présence durable des Scandinaves à travers les royaumes francs et au-delà.

 

 

EPISODE 5 : CAP SUR L'OUEST
L'instabilité politique en Norvège a conduit certains Vikings à se lancer dans une exploration des territoires potentiels situés à l'ouest.
Ils ont découvert l'Islande, où ils se sont établis durablement. Une expédition depuis l'Islande leur a permis de découvrir le Groenland et les côtes de Terre-Neuve, ce qui fait d'eux les premiers Européens à avoir foulé le sol américain.

 

 

EPISODE 6 : UNE ERE NOUVELLE
Au milieu du Xe siècle, le règne d'Harald Ier, roi d'un Danemark unifié, puissant et christianisé, marque le début d'une nouvelle ère.
Mais cela ne durera pas, et les Normands finiront par remporter le royaume d'Angleterre en 1066. Découvrez ici les derniers jours de l'empire viking.

 

 


 

« Anthropocène. Le mot fait débat, on peine à bien le définir, mais il recouvre une réalité difficilement contestable : l’humanité transforme la planète et tout son environnement. Où placer le début de cette présumée nouvelle ère ?
À la révolution industrielle ? Après la Seconde Guerre mondiale? Et si l’on remontait jusqu’à l’invention de l’agriculture sédentaire il y a quelque 12 000 ans, ce moment charnière qualifié de « révolution néolithique» qui a radicalement changé le destin de l’humanité ? »
 
- Jᴇᴀɴ-Pᴀᴜʟ Dᴇᴍᴏᴜʟᴇ - Pᴏᴜʀ ʟᴀ Sᴄɪᴇɴᴄᴇ ʜᴏʀs sᴇ́ʀɪᴇ ɴ°116 (pdf)
 
Hors serie Pour la Science 116 Fallait il inventer l agriculture

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La Commune de Paris ( 18 mars - 28 mai 1871 )

 

La Commune de Paris, une vraie guerre civile

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La Commune, plus belle la vie

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Portraits de communards

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Du XIXe siècle à aujourd'hui. Postérité de la Commune

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Léo Frankel (1844-1896), trajectoire d'un communard

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Louise Michel. Derrière la légende de la Vierge rouge

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Paris en ruines, attraction touristique de l'été 1871

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La déportation des communards

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Clichés de la Commune

affiche


 

Début de l’année 1808, les troupes de Napoléon Ier sous prétexte de conquérir le Portugal envahissent l’Espagne. Le Roi Charles IV et son fils Ferdinand VII sont écartés du pouvoir et Joseph Bonaparte, frère de l’empereur, est installé sur le trône. Poussée à l’émeute par les nobles et les réformistes, la population de Madrid se révolte. L’insurrection s’étend peu à peu à tout le pays et l’Espagne connaît l’un des pires moments de son histoire. La ville de Saragosse est prise d’assaut avec une rare violence et tombe aux mains des français le 1er février 1809, par la suite la ville de Barcelone est conquise à son tour.

Mais à partir de 1812, la tendance s’inverse, la désastreuse campagne de Russie affaiblit le pouvoir militaire de Napoléon et les espagnols alliés aux anglais avec le duc de Wellington reprennent peu à peu les territoires occupés. Le 11 décembre 1813 le traité de Valençay rend son trône à Ferdinand VII, exilé en France depuis 5 ans.

Pour la France napoléonienne, la guerre espagnole aura été un effroyable gouffre en vie humaine, 260 000 hommes sont morts. Du côté espagnol, ces six années de guerre deviendront dans la mémoire collective, celles de la « guerre d’indépendance ».

Cette période de l’occupation française va être pour Goya une terrible épreuve. Non seulement nombre de ses amis libéraux vont devenir des « afrancesados » c’est à dire des collaborateurs, pensant que le « roi Intrus » Joseph Bonaparte représentait le salut pour l’avenir du pays ; mais encore durant la terrible famine madrilène de 1811-1812 qui fit plus de 20 000 morts, il va perdre son épouse bien-aimée Josepha.

Traumatisé par les images du conflit et l’ampleur du désastre humain de cette guerre, Goya commence à graver les plaques de cuivre de cette nouvelle série en 1810, à partir de dessins préparatoires réalisés à la sanguine. Il la termine dix ans plus tard en 1820. Composée de quatre-vingt gravures, elle se déploie autour de trois thèmes principaux. 
• Le premier concerne 47 gravures qui décrivent les conséquences épouvantables de la guerre et les actes de barbarie perpétrés par les deux camps. 
• Le deuxième thème, de la gravure n°48 à 64, témoigne de sa compassion pour les souffrances du peuple espagnol lors de la famine qui sévit à Madrid et des inégalités entre riches et pauvres. 
• Le troisième évoque la mise en place d’un régime réactionnaire et théocratique sous l’autorité de Ferdinand VII, après le départ des troupes napoléoniennes. Goya passe ainsi en revue les tenants de l’absurde et de l’immobilisme : le pouvoir absolu, une église rétrograde, un peuple inculte et superstitieux et des élites corrompues.

Après le départ de Goya pour la France en 1824, les matrices sont conservées par son fils puis en 1856, leur nouveau propriétaire Jaime Machén Casalins les offre à l’Etat espagnol. L’Académie des Beaux-arts de San Fernando en fait une première édition en 1863, soit 35 ans après la mort de Goya.

Les desastres de la guerre

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  • Charles et Désirée Hérin
  • Charles et Désirée Hérin

    Charles et Désirée Hérin

    Ça c'est la photo de mon grand-père paternel, Charles Hérin, quelques temps avant sa mort en 1939, en uniforme de major. La petite photo dans le coin droit est celle de ma grand-mère paternelle, Désirée Hérin-Bischops, également quelques temps avant sa mort en 1956. Lui, je ne l'ai donc pas connu, étant né en 1950. Elle, je l'ai connue "un peu". Je l'appelais "petite bobonne" pour la distinguer de mon autre grand-mère que j'appelais "grosse bobonne".
  • Charles Hérin - 62 ans
  • Charles Hérin - 62 ans

    Charles Hérin - 62 ans

    La même photo de plus près. Il est mort à 62 ans. Il paraissait beaucoup plus vieux. Je pense qu'il est mort d'une intoxication à la céruse ou un truc ainsi.
  • Septème de Ligne à Bourg Léopold
  • Septème de Ligne à Bourg Léopold

    Septème de Ligne à Bourg Léopold

    Mon grand-père est né en 1877 à Dampicourt, en Gaume. Il était fils de cultivateurs. Ses parents possédaient une assez grosse ferme à Couvreux près de Virton. Il était doué et je crois qu'il a fait toutes ses études secondaires, ou presque du moins, avant de rejoindre l'armée et d'y suivre une instruction qui sans doute le rendra sous-officier. Ici, on voit qu'il est en 1906 (le timbre au verso le montre), au champ de tir de Beverloo, près de Bourg Léopold. A ce moment, comme l'indique le verso de la carte, il habite à Berchem-Anvers car il est affecté au 7ème de ligne (infanterie) caserné à Anvers, et faisant partie de la 2ème division armée commandée par Émile Dossin de Saint-Geaorges.
  • Verso de la carte de Bourg Léopold
  • Verso de la carte de Bourg Léopold

    Verso de la carte de Bourg Léopold

    Le verso de la carte précédente. On est donc en 1906. Ils habitent, sa femme Désirée et lui à Berchem-Anvers, où mon père, leur premier enfant, naîtra un an plus tard, le 23 mai 1907.
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  • Avec mon père vers 1911
  • Avec mon père vers 1911

    Avec mon père vers 1911

    Les voici tous les trois. Manifestement, mon père doit avoir entre 3 et 4 ans. C'est donc toujours avant la guerre.
  • Avec mon père en 1912
  • Avec mon père en 1912

    Avec mon père en 1912

    1912. Mon père a 5 ans. On est donc encore deux ans avant le début de cette guerre. Sans doute toujours à Berchem-Anvers. Il m'est impossible de dire quel est le grade de mon grand-père. Je ne comprends pas les insignes de ces uniformes.
  • Désirée et mon père (9 ans) - Calais 1916
  • Désirée et mon père (9 ans) - Calais 1916

    Désirée et mon père (9 ans) - Calais 1916

    Là, c'est 1916. On verra sur les cartes postales suivantes que mon grand-père, à l'époque sous-lieutenant au quartier général du 7ème de ligne, entretemps dédoublé en 7ème de ligne mixte du fait de la conscription, encore appelé 7ème brigade mixte, est basé à Calais, assez loin derrière la ligne de front qui s'est arrêtée à l'Yser. C'est le repli de la 2ème division de Dossin de Saint-Georges après la prise d'Anvers par les Allemands vers Gand, puis la décision de replier toute l'armée belge derrière l'Yser, qui les a amenés là. Il semble que ce soit à ce moment que le 7e de ligne passe sous les ordres du Lieutenant-Général Bernheim Les troupes de du 7e de ligne ont largement contribué à organiser le débordement des écluses de l'Yser et les inondations qui en ont résultées, pour stopper l'avance allemande définitivement sur ce front occidental, en 1914, malgré d'autres batailles sanglantes à Ypres en 1915. On ne trouve aucune trace de ces événements de 1914 dans ce qui me reste des archives de mon grand-père.La famille semble réunie à Calais, mais mon grand-père étant lieutenant payeur de son régiment, se rend fréquemment sur la ligne de front (en périodes d'accalmies !) pour payer la solde des troupes. Ce qui donnera lieu à un échange de cartes postales entre lui, son épouse et mon père, que nous verrons plus loin. Cette photo est manifestement une photo studio prise par un professionnel.
  • Mon père (10 ans) - Calais 1917
  • Mon père (10 ans) - Calais 1917

    Mon père (10 ans) - Calais 1917

    Là, c'est 1916. On verra sur les cartes postales suivantes que mon grand-père, à l'époque sous-lieutenant au quartier général du 7ème de Mon père grandit. 1917. Toujours à Calais. Nous verrons sur les cartes postales, que vers la seconde moitié de 1917, ma grand-mère et mon père ont émigré à Rouen. Mon père m'a toujours dit qu'il avait fait une partie de l'école primaire à Saint-Lô, dans le Cotentin. C'est bizarre, je n'en trouve pas de trace.
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    Là, et sur les deux photos suivantes, c'est mon grand-père, sans doute vers 1915. Il devait être sous-lieutenant, comme les cartes postales l'indiquent. Mais la jugulaire de cuir fait penser à un sous-off.
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    Le brassard noir, je ne sais pas pourquoi. Sans doute la mort d'un officier. Je doute qu'il ait pu porter le deuil d'un membre de la famille sur son uniforme. De toutes façons, je ne sais pas quand ses parents sont morts. Ça doit figurer dans les archives généalogiques collectées par mon oncle et mon frère. Mais je dois dire que moi, ça ne m'importe peu de le savoir. Je n'ai aucunement le culte de la famille.
  • Médaille de l'Yser
  • Médaille de l'Yser

    Médaille de l'Yser

    Les officiers comme mon grand-père, à l'état major du 7e de ligne comme sous-lieutenant payeur, n'allaient sur la ligne de front qu'en période calme. Toutefois, en tant qu'officiers, on les décorait à qui mieux mieux. En voici quelques exemples. La médaille de l'Yser sera quand même décernée à tous les combattants des différentes batailles de l'Yser, notamment à Dixmuide, à Ypres, à Nieuwskapelle ...
  • Médaille du courage civique
  • Médaille du courage civique

    Médaille du courage civique

    Une médaille pour courage civique. Il aurait empêché un gamin de se faire renverser par un véhicule.
  • 15 ans
  • 15 ans

    15 ans

    La médaille pour 15 ans d'ancienneté. Celle de 10 ans, ne dispose pas du V.
  • Médaille de la victoire
  • Médaille de la victoire

    Médaille de la victoire

    Médaille de la "victoire". Je mets "victoire" entre guillemets, car je pense fermement que le traité de Versailles de 1919 a rendu l'Allemagne exsangue, et conduira immanquablement à la montée du nazisme. Ce ne fut donc en aucune manière une victoire, mais un prélude à la seconde guerre mondiale. La couardise de Daladier et de Chamberlain, lors des accords de Munich de 1938 fera le reste.
  • Médaille du front
  • Médaille du front

    Médaille du front

    La médaille du front, avec Albert casqué à l'avers. Les quatre barrettes m'interpellent. La première barrette signifiait une année au front. Chaque barrette suivante, pour 6 mois. Cela fait donc ici deux ans et demi. Il y était à coup sûr de 1915 à 1917. Et le reste du temps ?
  • Ordre de la Couronne
  • Ordre de la Couronne

    Ordre de la Couronne

    Officier (rosette) de l'Ordre de la Couronne, ordre institué par le négrier Léopold II, ayant plus oeuvré à la gloire du pneumatique Michelin qu'au développement digne et harmonieux de la nation congolaise.
  • Ordre de Léopold Ier
  • Ordre de Léopold Ier

    Ordre de Léopold Ier

    Mon grand-père avait ceci de commun avec Charles Aznavour et Stéphane Bern, c'est qu'il était officier (rosette) de l'Ordre de Léopold Ier. Avec glaives sous le ruban, car militaire.
  • Croix militaire de seconde classe
  • Croix militaire de seconde classe

    Croix militaire de seconde classe

  • Croix de guerre
  • Croix de guerre

    Croix de guerre

    Deux croix de guerre (pourquoi deux, je ne sais pas). Un lion pour une citation à l'ordre du régiment. Une palme pour une citation à l'ordre de l'armée.
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    Les "charmantes" cartes postales patriotiques de l'époque. Recto de l'une d'elles. Voyons maintenant quelques-unes provenant des échanges de mon grand-père avec son épouse et son fils.
  • Cartes postales
  • Cartes postales

    Cartes postales

    J'ai retrouvé toute une série de cartes postales de correspondance entre mon grand-père, son épouse Désirée et mon père. Ils habitent Calais, bien qu'ils semblent déménager plusieurs fois. Lui, il est sous-lieutenant payeur au 7e de ligne, IIIe bataillon. Régiment faisant partie de la 1ère division dirigée par le général Bernheim. Après la chute d'Anvers, le régiment de mon grand-père a sans doute rallié cette division une fois derrière l'Yser.. Mon père m'a souvent parlé de Bernheim. Il semble qu'il soit venu manger chez eux de temps en temps. Le rôle de mon grand-père est d'aller payer la solde des troupes au front pendant les périodes d'accalmies. On verra donc des ruines sur son trajet depuis Calais quand il se rend sur la ligne de front entre Ypres et Dixmude, et des militaires dans les tranchées, qui semblent particulièrement calmes, car cela se passe toujours en dehors des combats. Il faut dire que je trouve des traces de ces correspondances entre octobre 1915 et fin 1917, c'est à dire après les batailles d'Ypres et le début de l'offensive générale commandée par Foch. Je ne trouve pas de correspondance ni de 1914, ni de 1918. En 1914, étant initialement basé à Anvers, il a assurément suivi l'armée jusque derrière l'Yser, mais peut-être avec sa famille sans participer au front. A-t-il participé à l'offensive de 1918 ? Je n'en sais rien. Cette période 1915-1917 expliquerait le nombre de barrettes sur sa médaille du front. Sur cette carte et sur les suivantes, on peut lire les banalités des échanges, qui se limiteront toujours à prendre des nouvelles de la famille, des résultats scolaires ... comme si le front n'existait pas. A aucun moment ni mon grand-père, ni ma grand-mère ne semblent affectés par ce qui se passe sur le front. Et pourtant même si à cette date du 1er octobre 1915, les principales batailles de l'Yser et d'Ypres sont terminées, le front continue a être actif pour contenir des tentatives allemandes. Tentatives devenues difficiles à cause de la région complètement inondée par le débordement intentionnel de l'Yser. Ici toutefois, et ce sera le seul cas, on fait allusion à un fait de guerre. Ma grand-mère se dit contente que la convalescence du Général Bernheim se passe bien. Bernheim, en effet, deux mois après le fin de la seconde bataille d'Ypres en 1915, sera assez grièvement blessé par un shrapnel. Il retournera au front après une convalescence de deux mois. Nous sommes donc à ce moment là. Le SM semble remplacer le timbre non-obligatoire pour les militaires en campagne.
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    Nous sommes quelques jours plus tard. Courrier toujours aussi banal. Comme si rien de grave ne se passait. Mon grand-père appartient au IIIe bataillon du 7e de ligne. Le A86, je ne sait pas ce que c'est. Il semble que ce soit l'adresse postale codifiée des casernements des troupes J'ai vu ailleurs des A26 ou des A302.
  • Voeux pour l'année 1916
  • Voeux pour l'année 1916

    Voeux pour l'année 1916

    Voeux à la fin 1915. "J'espère que tu seras bien rentré". Je suppose que cela signifie "bien rentré au quartier général" pour y fêter le réveillon ...
  • Réveillon de Noël 1915 des officiers
  • Réveillon de Noël 1915 des officiers

    Réveillon de Noël 1915 des officiers

    ... car entre officiers, on ne s'emmerdait pas, malgré la guerre. Réveillon 6 services, avec huîtres, raie, dinde ... Quant à Pollinkhove (et non Pollinckhove), il ne s'agit pas d'un plat mais, suivant immédiatement la date 1915, il s'agit assurément du lieu où est organisé le réveillon. Pollinkhove fait aujourd'hui partie de l'entité de Lo-Reninge, un peu au nord de Vleteren, dans le Westhoek. Il y a en effet de nombreux témoignages anciens sur internet décrivant Pollinkhove comme lieu de casernement. Dont celui-ci: horizon14-18.eu/wa_files/Carnet_de_Campagne_20JM.pdf. On sait donc maintenant où se trouvait ce fameux quartier général d'où mon grand-père partait payer la solde des soldats au front. Le dos du menu est nominatif "Guerre 1914-15, Sous-Lieutenant Hérin".
  • Carte de voeux d'un autre militaire adressée à mon grand-père pour le 1er janvier 1916.
  • Carte de voeux d'un autre militaire adressée à mon grand-père pour le 1er janvier 1916.

    Carte de voeux d'un autre militaire adressée à mon grand-père pour le 1er janvier 1916.

  • 7 août 1916
  • 7 août 1916

    7 août 1916

    7 août 1916 - Nouvelle lettre banale de mon grand-père à mon père (tous deux s'appelaient Charles). On parle d'une petite maladie de mon père et de la distribution des prix. Il a alors 9 ans. Il faut dire que le courrier devait être ouvert, que tout était lu et censuré. Il était donc difficile de ne pas être banal. Mais quand même. Pas un mot de ce qui se passe ni au casernement, ni au front. Même pas une petite anecdote. Le recto de la carte présente les nouveaux uniformes de l'armée belge.
  • 23 mars 1917
  • 23 mars 1917

    23 mars 1917

    23 mars 1917 - Mon grand-père annonce qu'il va venir les voir à Calais. Remarquons que l'adresse n'est plus la même depuis août 1916, et que mon père appelle ses parents Père et Mère, malgré qu'ils se tutoient et que ceci ne traduit aucunement un manque d'affection.
  • 21 avril 1917
  • 21 avril 1917

    21 avril 1917

  • Fin 1917 à Rouen
  • Fin 1917 à Rouen

    Fin 1917 à Rouen

    Toute fin 1917. Manifestement mon grand-père a été promu lieutenant. Et ma grand-mère et mon père ont été "reculés" à Rouen. De A86, on est passé à D96. Le recto montre une vue des villas de Sainte-Adresse. Sainte-Adresse, station balnéaire juste à côté du Havre, était la capitale de la Belgique de 1914 à 1918, cédée à bail à la Belgique par la France pour que le gouvernement belge ne soit pas considéré comme en exil. Le gouvernement Charles de Broqueville occupait l'« immeuble Dufayel », construit par Georges Dufayel en 1911. Il y avait environ 1000 fonctionnaires répartis en différents lieux de la ville. de Broqueville n'y était pas souvent car il allait voir régulièrement le Roi Albert, qui ne logera jamais à Sainte-Adresse mais gardera son quartier général en Belgique non occupée, à La Panne. Donc manifestement, vers fin 1917, mon grand-père, devenu lieutenant a rejoint la "capitale" belge, et sa famille habite Rouen, toute proche.
  • Sainte-Adresse,
  • Sainte-Adresse,

    Sainte-Adresse, "capitale belge"

    Le recto de la carte de l'image précédente montrant les villas de la "capitale belge" de Sainte-Adresse.
    La petite ville de Sainte-Adresse, sur la côte normande, est d'ailleurs assez bien connue des amoureux de la peinture, puisque c'est là qu'iront vivre les parents de Claude Monet avec leur famille. Claude Monet, né à Paris passera donc son enfance et son adolescence à cet endroit.
  • Autre carte - même jour
  • Autre carte - même jour

    Autre carte - même jour

    Autre carte envoyée à Rouen depuis Sainte-Adresse. Le recto montre cette fois la rue de Paris au Havre. Le texte est tout aussi court. N'étant plus au front, mon grand-père voyait sans doute beaucoup plus régulièrement sa famille, et leur envoyait des cartes postales pour le plaisir de leur montrer des vues du Havre et de Sainte-Adresse. Cette carte est d'ailleurs datée du même jour que la précédente, ce qui semble confirmer ce que je pense.
  • Photos des tranchées de l'Yser et du Westhoek
  • Photos des tranchées de l'Yser et du Westhoek

    Photos des tranchées de l'Yser et du Westhoek

    On entame ici une sélection des nombreuses photos prises par mon grand-père lorsqu'il se rendait aux tranchées pour payer la solde des militaires, ou quand on les voit dans leurs quartiers entre officiers, à l'arrière du front. Ici, une légende à l'arrière stipule juste "Vue vers l'ennemi".
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    Ferme détruite par les bombardements. Endroit inconnu.
  • Blessé
  • Blessé

    Blessé

    Mon grand-père a été blessé. La date est incertaine (1915 ou 1916). Cela n'a pas été très grave à première vue. Je dispose de plusieurs photos à l'hôpital. Cela semble avoir été une blessure à la jambe. Ici, on le voit en convalescence en compagnie d'un de ses camarades d'hôpital, sans doute. Il ne quittera plus jamais cette canne.
  • Bombardements
  • Bombardements

    Bombardements

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  • Église Sint Vedastus à Reninghelst
  • Église Sint Vedastus à Reninghelst

    Église Sint Vedastus à Reninghelst

    Un seul mot au verso. "Reninghelst". Pas de date. Ce village se trouve aujourd'hui dans l'entité de Poperingue. Il n'a jamais été occupé par l'armée allemande mais a été abondamment bombardé. L'église Sint Vedastus a été quasi entièrement détruite. Il s'agissait d'un lieu de passage des troupes se rendant ou revenant du front des batailles d'Ypres.
  • Piqué du nez
  • Piqué du nez

    Piqué du nez

    Légende au crayon au verso "Nieuport - Piqué du nez durant un combat - l'aviateur est sauf et se trouve à droite"
  • Piqué du nez (2)

  • Tombe d'un soldat sénégalais
  • Tombe d'un soldat sénégalais

    Tombe d'un soldat sénégalais

    Celle-ci et les deux suivantes : "cimetière africain - la croix du fusil avec la faulx indique la tombe d'un sénégalais". Tombes on ne peut plus primitives, au milieu des trous d'obus, alors que des cimetières entiers allaient être construits derrière l'Yser pour les combattants belges, anglais et français.
  • Nouvelles tombes
  • Nouvelles tombes

    Nouvelles tombes

    On creuse les tranchées, ou des tombes. Les officiers observent.
  • Inspection
  • Inspection

    Inspection

    Inspection d'officiers - tout le monde en grande tenue de fantassin. Le gars à cheval, ce pourrait être Albert, mais je n'en suis pas sûr. Remarquons la présence du gendarme, dont le rôle est de veiller à ce que personne ne se défile quand il s'agit de monter à l'attaque.
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  • Carte postale idéalisant les tranchées pendant la remise du courrier
  • Carte postale idéalisant les tranchées pendant la remise du courrier

    Carte postale idéalisant les tranchées pendant la remise du courrier

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    Insouciance de jeunes officiers à la caserne de Pollinkhove. Mon grand-père est assis à droite.
  • 25 mai 1915
  • 25 mai 1915

    25 mai 1915

    " 25 mai 1915 - Visite d'adieu au brave capitaine-commandant Barniat, blessé et partant se faire opérer à Paris". Mon grand-père est vraisemblablement le barbu debout à droite du prêtre. Il a porté la barbe pendant un temps.
  • Mai 1915
  • Mai 1915

    Mai 1915

    " Mai 1915. On fêtait à la ferme Claeys la nomination du (nouveau) commandant".
  • Elisabeth visite les tranchées
  • Elisabeth visite les tranchées

    Elisabeth visite les tranchées

    Cette photo et la suivante : "Visite de la Reine Elisabeth dans les tranchées du front de l'Yser".
  • Elisabeth visite les tranchées (2)

  • À propos de la façon dont les officiers traitent les troupes
  • À propos de la façon dont les officiers traitent les troupes

    À propos de la façon dont les officiers traitent les troupes

    Je ne sais pas d'où sort cette découpe de presse ni de quand elle date. Elle accompagnait une des décorations de mon grand-père. Vraisemblablement découpée par mon père. Elle parle spécifiquement du Roi Albert, et est assez révélatrice de ce que nous savons maintenant s'être passé au niveau des officiers supérieurs français, mais, semble-t-il également belges : "Jamais il ne déléguera ses pouvoirs militaires. Pourquoi ? Parce qu'il a observé, AVEC HORREUR, comment certains gé…
  • Devenu apiculteur
  • Devenu apiculteur

    Devenu apiculteur

    Retraité, assez vite malade par ce qui semble être un empoisonnement du à la céruse, à cause d'une blessure mal soignée, mon grand-père se découvrira une passion pour l'apiculture dans la maison du 69 avenue du Val d'Or, à Woluwé-Saint-Pierre, où j'ai moi-même passé les huit premières années de ma vie.